Marche à l’ombre n° 48 : 2ème trimestre 2011

Le glas sonne pour la fin de l'hiver, le temps des jonquilles est arrivé ! Il va être temps de raccrocher les raquettes et de sortir les shorts. C'est la larmes à l'œil que je rédige ces quelques lignes et que je me demande "qu'est-ce que je vais bien pouvoir dire...?". Non, soyons sérieux et passons à des choses plus réjouissante et en accord avec ce printemps qui nous fait grâce de belles journées ensoleillées. Les séjours randos "godillots" ne vont pas tarder à reprendre. Votre serviteur est un peu surbooké depuis le début de l'année et n'a toujours pas mis l'affiche pour l'inscription de Mai. Mais promis çà va être fait bientôt. Tenez-vous prêt à bondir sur le stylo dès que la liste sera placardée au tableau du club. J'ai pas encore entendu la fameuse question "mais qu'est-ce que l'on va manger cette année?", mais je sais bien qu'elle va venir d'ici peu. Ce qui est publique: c'est un week-end proche et/ou dans les gorges du Dessoubre, plus exactement sur "La Baume" à côté de Belleherbe, avec un difficulté disons moyenne (20 à 22 Km - ~800m de déniv.). Ce qui l'est pas (publique, j'entends): le menu. Mais çà les habitués le savent bien! Le temps, le temps voilà une drôle de chose: il y a d'abord le temps qui fait toujours des mécontents. Il fait trop chaud, il fait trop froid, il pleut, voilà bien des raisons qui sont avancées pour ne pas se rendre à la rando. Ou alors il y a le temps des souvenirs qu'on tent' de rattraper, "Ah dit mamie, tu te souviens de notre temps: c'était pas comme çà pis y-avait pas Internet". Et il y a le temps après lequel on court toujours (cf. l'histoire de l'affiche). Est-ce que la solution serait d'être en retraite pour disposer de plus de temps? Je n'en suis pas certain à voir l'emploi du temps de certain qui ne cesse d'être par monts et par vaux, et qui me relance car je n'ai toujours la rédiger le mot du président pour le bulletin. Mais çà Tant pis, c'est ma faute j'avais qu'à d'être prêt et de prendre le temps de m'y coller, au lieu de m'écrouler dans la banquette après mon mi-Temps de la journée. Stop-là la dérision et ayons une pensée pour tous ces malheureux qui ont subit, et qui continueront de subir, de lourdes épreuves avec une accumulation d'évènements: tremblements de terre, Tsunami, irradiation. Ayons aussi une pensée toute particulière pour ces hommes qui au sacrifice de leur vie, vont en sauver des milliers d'autres. Qu'est-ce donc que nos petits bobos en regard de ces douleurs. Merci de votre compassion. Bonnes balades à tous, et à très bientôt sur les sentiers.

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